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Nous avons/ferons tou.te.s l’expérience de la consolation que nous soyons à la place délicate d’apporter une consolation ou dans celle, douloureuse, d’être ou de désiré être consolé. La consolation n’est pas une recherche de solution, elle est fragile et incertaine, elle n’est ni invigoration ni réparation magique, elle tâtonne avec tendresse et humilité, car celui qui console ne le fait pas au nom d’un savoir ou d’une expérience à laquelle il faudrait se soumettre mais au nom de la fraternité ou de l’amour. La philosophie peut-elle alors être consolatrice ? Ne cherche-t-elle pas, avant tout, à regarder avec lucidité le réel tel qu’il est ?
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